Friday, April 12, 2013

AFRICA, TANZANIA: Tanga Cement hits record sales


TANGA Cement marked a historic sale in a single year after it managed to sell over one million tonnes of cement last year, pushing up its net profit by 52 per cent.

The Tanga-based cement firm said the sales volume grew up by 21 per cent to 257.92bn/- as a result of export sales that rose by 55 per cent last year, with pre-tax profit increasing to 55.93bn/- from 37.08bn/-.

The Tanga Cement acting Chairman, Prof Samuel Wangwe, said the firm overcome the industry challenges - entry of new manufacturers and cheap imports - last year to achieve the milestone sales. “The sales volume increase marks a significant milestone for Simba Cement, being the first time the companysold over one million tonnes of cement in one year,” Prof Wangwe said in a statement in Dar es Salaam.

He said sales increment and reduction on maintenance costs was partlyresponsible for the 26 per cent increase in the company’s gross profit for the year. “The overhead costs were strictly controlled and the company’s operation profit for the year increased by 34 per cent,” Prof Wangwe said, adding that improved supply of electricity as compared to last year’s also contributed to the cement manufacturer’s profitability.

The costs also subdued following the fact that the firm used merely 1.91 per cent of own power generation compared to 6.9 per cent of 2011. However, the transport costs declined aa a result of 50 per cent reduction railway services available. “This substantially increased distribution costs as the company had to rely on road transport increased,” said the acting Chairman. Tanga Cement is listed on the Dar es Salaam Stock Exchange where it trades as Simba, with its
share price stagnating at 2,400/- since the beginning of this year.

The announced financial performance is likelyto push up the stock value. “The boards recommends a final dividend of 55/- per share, bringing to 100/- the accumulated dividend for the year compared to 86/- of 2011,” said Professor Wangwe.

The board of directors has approved the construction of the second clinker at the factory mid this year to increase output in the years ahead and meet demand, getting rid of imports. The project, scheduled to be completed in 2015, will increase clinker production capability by 600,000 tons per year, more than double the current capacity.

"This additional capacity is expected to satisfy the consistently high demand for cement from both the local and export markets," Prof Wangwe said.

Thursday, April 11, 2013

AFRICA: BURKINA FASSO. Cimburkina envisage produire 650 000 tonnes deciment par an


IMPLANTATION D’UNE CIMENTERIE À OUAGADOUGOU

Cimburkina envisage produire 650 000 tonnes deciment par an

La direction de la société de cimenterie, Cimburkina, a donné une conférence de presse, le mardi 2 avril 2013 à Ouagadougou, en vue de présenter le projet d’installation d’une usine de broyage de clinker. La rencontre s’est déroulée dans la direction provisoire de l’entreprise sise à Tanghin.

 Le chef de projet de Cimburkina, David Depoutot, et son adjoint, Toussaint Bamouni, ont présenté le projet d’installation de l’usine de broyage de clinker au cours d’une conférence de presse, le mardi 2 avril 2013. Selon M. Bamouni, Cimburkina est une société de droit burkinabè qui est détenue à 55% par le groupe Heidelberg cement, troisième cimentier mondial et à 45% par Kanis industrie composée d’opérateurs burkinabè. Pour lui, la consommation annuelle de ciment au Burkina Faso est de l’ordre de 900 000 tonnes. Et de préciser que cette production est fournie par la seule industrie de ciment qu’est Diamond cement, basée à Zagtouli (Ouagadougou). Cette industrie ne produisant que 600 000 tonnes de ciment par an fait dire à Toussaint Bamouni que l’offre est en-deçà de la demande. D’où l’idée de l’implantation d’une autre société de fabrique de ciment d’une capacité de 650 000 tonnes de ciment par an pour combler cette insuffisance. D’entrée de jeu, le chef adjoint du projet, a précisé la nature de la structure « Cettecimenterie est un centre de broyage et non une usine intégrée car l’ensemble du processus de fabrication du ciment sera effectué à Lomé (république du Togo) et acheminer au Burkina sous forme de clinker. Et c’est le broyage de ce clinker que notre usine située dans la zone industrielle de Kossodo à Ouagadougou va se charger de faire ». Les journalistes ont voulu savoir combien va coûter le sac de ciment

« Nous ne pouvons pas donner de garantie sur les prix. Il sera fonction du coût de l’énergie et lorsque nous commencerons la production l’année prochaine, nous verrons quel est le climat économique », a répondu M. Bamouni. Et d’ajouter « Mais une chose est sûre, nous allons mettre du ciment en qualité et en quantité sur le marché et la disponibilité du ciment, va probablement empêcher le prix de grimper ». Pour sa part, le directeur du projet, David Depoutot, a rassuré quant à la qualité du produit. « Cimtogo et cimburkina font partie d’un même groupe. Pour ce faire je tiens à vous rassurer que le ciment de cimburkina aura la même qualité que celui de cimtogo » a-t-il laissé entendre. Concernant les emplois, l’adjoint du chef de projet a déclaré qu’un processus de recrutement va commencer dans les cinq et six mois à venir et que plus de 90% des postes reviendront aux Burkinabè. Il a également ajouté que le groupe Heidelberg a des exigences très strictes en matière d’environnement et a pris toutes les dispositions afin de respecter l’engagement pris pour obtenir le permis environnemental. Selon lui, il est prévu l’installation des filtres pour absorber la poussière que va engendrer la transformation du clinker enciment. De même, il est envisagé le bitumage des voies d’accès à l’usine. S’agissant de leur relation avec la population riveraine, M. Bamouni dit n’avoir pas de problèmes particuliers avec les riverains. « Nous avons commandité une étude d’impact environnemental qui a dénombré cent neuf familles et toutes ces familles ont été dédommagées en fonction de leurs patrimoines », a-t-il souligné. Faisant allusion à la grogne des étudiants quant à une éventuelle installation d’usine decimenterie à proximité du CENOU, le chef adjoint du programme a expliqué qu’il s’agit d’une société concurrente dont la base est à deux km de la cité universitaire tandis que la leur est à cinq km de ladite cité. 

La concrétisation du projet Cimburkina est le fruit d’un partenariat entre le groupe allemand Heidelberg cement et le groupe burkinabè Kanis international. La société Cimburkina dont la signature de convention est intervenue en juillet 2012, suivie de la pose de la première pierre le 2 août de la même année, a débuté ses travaux de construction et va mobiliser 250 techniciens chinois, selon M. Depoutot. Le premier sac de ciment est attendu en avril 2014 et le début de la commercialisation en juin 2014

Africa, Tunisia: Le ciment se fait rare et cher


Tunisia: Le ciment se fait rare et cher

 • Opération coup de poing contre les spéculateurs

Le ciment se fait de plus en plus rare et cher partout dans le gouvernorat du Kef où l’on n’arrive plus à se procurer ce matériau indispensable à tous les travaux de construction.

Cela est d’autant plus inquiétant que le sac de ciment Portland (ciment ordinaire) a atteint des prix exorbitants, dépassant les dix dinars contre un peu moins de six dinars habituellement.

Un tel topo commence à inquiéter plus d’un promoteur et autres personnes voulant construire ou rénover un logement ou un local à divers usages.

L’explication en est que l’un des deux fourneaux de la cimenterie d’Om El Klil à Tajerouine qui fournit près de 2.500 tonnes de ciment par jour est tombé en panne et sa réparation pourrait se prolonger jusqu’au 20 avril, si l’on en croit le directeur régional du commerce, Raouf Lakhmissi, qui a déclaré, hier, que les brigades de contrôle économique, épaulées par l’armée nationale et les services de sécurité, ont arrêté une camionnette chargée de sacs de ciment destinés au marché noir.

L’engin et la charge ont été saisis et un procès-verbal a été dressé contre l’auteur de cette opération non réglementaire.

Cela dit, il serait difficile de croire à une reprise rapide des opérations d’approvisionnement du marché régional avant la fin du mois, selon plusieurs commerçants qui espèrent que le scénario de 2011 ne se répétera pas.

La cimenterie d’Om El Klil fournit annuellement près d’un million de tonnes de ciment et 300.000 tonnes de chaux, mais le travail a été interrompu à plusieurs reprises dans cette entreprise suite à des mouvements de contestation émanant de chômeurs en quête d’emploi et exigeant leur recrutement dans la cimenterie, mouvement qui a paralysé l’activité de l’entreprise, lui causant des pertes estimées en tout à près de 20 millions de dinars, selon un responsable au service contentieux. Mais la prolifération des constructions anarchiques et l’investissement dans la pierre ont connu une vitesse vertigineuse qui pourrait aussi expliquer, en partie, la ruée vers le ciment, non seulement dans la région du Kef mais aussi dans tout le pays, d’autant plus que le radoucissement du climat a été propice pour la mise en œuvre de nouveaux chantiers publics et privés nécessitant d’importantes quantités de ciment.

AFRICA, IVORY COAST:


Secteur de la cimenterie: Un opérateur veut baisser les prix

La société de fabrique de ciment, dénommée Ciminter, envisage de satisfaire l’évolution prévisionnelle de la demande locale de ciment en produisant 700.000 tonnes d’ici la fin de l’année 2013. En outre, elle ambitionne à termes, de satisfaire la demande sous-régionale en produisant 1.400.000 tonnes de ciment. Cette production portera l’offre de production nationale annuelle de ciment à 3.800.000 tonnes, et permettra à coup sûr, de baisser le prix du tonnage. Le ministre de l’Industrie, Jean Claude Brou, a visité le 9 avril dernier le chantier de construction de cette usine, située à la zone industrielle de Vridi.

La construction de cette fabrique est achevée à 40% pour un coût de 8,5 milliards. Au total, plus de 40 milliards FCFA seront nécessaire pour sa réalisation. Elle génèrera en phase de production 200 emplois permanents destinés aux nationaux.

Au dire du Pca, Amida Jean François, ce complément de production significatif aura un impact réel sur le coût du ciment par le truchement de l’offre et de la demande. «Le prix usine à la tonne est de 82.500 FCFA et nous ambitionnons le faire baisser», a-t-il indiqué.

Pour le ministre Jean Claude Brou, il y a une bonne perspective pour le ciment.

AFRICA, KENYA: Cement uptake rises faster in second half 2012



Cement consumption was four per cent higher in the second half of 2012 than a similar period in 2011, signalling the construction sector’s return to health.

Data from the Kenya National Bureau of Statistics shows cement consumed in the last six months of the year increased to 2,058,931 metric tonnes compared to 1,980,070MT in the previous year, rising by 78,861MT. The increase in the second half was higher than the overall year, which increased by a paltry 1.7 per cent to 3,937,263MT from 3,870,930MT.

The quantity of cement manufactured in the second half increased by 2.5 per cent to 2,375,129MT from 2,318,116MT in the same period in 2011. Full-year production was up by 3.6 per cent to 4,639,723MT from 4,478,428MT.

The building and construction and real estate sectors are emerging from a slump occasioned by a high interest rate regime since the second half of 2011 which saw credit to the sectors hard to come-by.

The value of building plans approved by the City Council of Nairobi alone in the year amounted to Sh189.6 billion, with the bulk of it higher in the second half.