Wednesday, May 8, 2013

EUROPE: Winter legt Umsatz der Zementproduzenten auf Eis



Die Baustoffindustrie hat den Frühling in diesem Jahr stärker denn je herbeigesehnt.

Der lange Winter auf der Nordhalbkugel schlug bei den führenden Produzenten von Zement, Beton oder Asphalt - HeidelbergCement und dem Schweizer Rivalen Holcim - stark ins Kontor. Die Umsätze in der Branche schrumpften nach den am Mittwoch vorgelegten Zahlen wie üblich im ersten Quartal. Die Arbeit auf den Baustellen ruhte in diesem Jahr aber nicht nur wegen der Kälte bis April länger als sonst, sondern auch wegen des frühen Osterfestes. Frost in Europa ist aber das geringere Problem, viel stärker macht der Industrie die Rezession in vielen Ländern zu schaffen. Auf das schlechte Wetter und die schwache Konjunktur haben die Baustoffkonzerne schon längst eine Antwort gefunden: Sie investieren in wärmeren, aufstrebenden Länder in Asien und Afrika.

Der Umsatz der Heidelberger ging von Januar bis März um 1,4 Prozent auf 2,76 Milliarden Euro zurück, wie der Dax-Konzern am Mittwoch mitteilte. Holcim nahm mit dem Verkauf von Zement und Baustoffen mit 4,3 Milliarden Franken sogar gut sieben Prozent weniger ein als vor Jahresfrist. Die Schweizer konnten den Gewinn aber um 160 Prozent auf 295 Millionen Franken steigern. Dahinter steckte bei Holcim unter anderem, dass HeidelbergCement von den Schweizern in Australien 25 Prozent an einer Zementmühle übernommen hatte. Beide Konzerne halten nun die Hälfte. Die Übernahme spülte Holcim 146 Millionen Franken in die Kasse. Dagegen rutschten die Badener tiefer in die roten Zahlen. Der Verlust vor Steuern erhöhte sich um gut zehn Prozent auf 162 Millionen Euro. Die Heidelberger kostete das Begleichen einer Kartellstrafe, gegen die sie erfolglos geklagt hatten, 32 Millionen Euro.

INVESTOREN GREIFEN ZU

Die Aktienkurse der beiden Konzerne legten dennoch um gut 1,5 Prozent zu, denn die Analysten hatten den Saisoneffekt erwartet und honorierten positive Ausblicke in Heidelberg und Zürich auf das Gesamtjahr. Die Schweizer erwarten steigende Zementverkäufe vor allem im größten Markt Asien sowie in Nord- und Lateinamerika. HeidelCement-Chef Bernd Scheifele bekräftigte auf der Hauptversammlung in Heidelberg sein Versprechen, den Vorsteuergewinn 2013 "spürbar" zu steigern. Die Aktien des irischen Baustoffproduzenten CRH verbilligten sich um mehr als drei Prozent - das Unternehmen hatte sein Gewinnziel wegen des witterungsbedingten Einbruchs für das erste Halbjahr auf 400 von 480 Millionen Euro zurückgeschraubt.

Eine eisige Bilanz legte auch der weltgrößte Ziegelhersteller Wienerberger vor. Der operative Gewinn schrumpfte im ersten Quartal auf 2,1 Millionen Euro. Konzern-Chef Heimo Scheuch sieht trotzdem "keinen Grund, die Prognose von einem Ebitda von 280 Millionen Euro" zu kippen. Die Aufholjagd werde allerdings eine Herausforderung, sagte er in Wien. Auch dem Zement-Weltmarktführer Lafarge hatte der lange Winter im ersten Quartal einen Gewinneinbruch um 26 Prozent auf 380 Millionen Euro (Ebitda) eingebrockt.

EUROPA PROBLEMZONE DER WELTWIRTSCHAFT

Stärker als unter dem Winter leiden die Baustoffproduzenten aber unter der Rezession in Europa. Sie stemmen sich mit Preissteigerungen, Kostensenkungsprogrammen und Investitionen in die Wachstumsregionen der Welt dagegen. Hoffnung schöpfen sie auch wegen des Aufschwungs in den USA, die den Einbruch nach der Finanzkrise schneller überwinden als die Europäer. "Die Problemzone in der Weltwirtschaft ist Europa mit Ausnahme Deutschlands", sagte Scheifele. Das Ergebnis in Europa brach bei HeidelbergCement 2012 um 48 Prozent ein, während es in den aufstrebenden Volkswirtschaften um 69 Prozent stieg. So hatte der seit 140 Jahren bestehende Traditionskonzern in Afrika im vergangenen Jahr mehr verdient als in Großbritannien und den Benelux-Staaten zusammen. Die Konsequenz: "Der Geschäftsschwerpunkt des Unternehmens verlagert sich nach Asien und Afrika."

Dort investiert der Dax-Konzern in neue Zementmühlen und stellt Mitarbeiter ein, während in Europa Arbeitsplätze abgebaut werden und das gleiche Produktionsvolumen mit weniger Personal erreicht werden muss. Das Bevölkerungswachstum, die Verstädterung und das damit wachsende Einkommen der Menschen in Asien, Afrika und Lateinamerika erhöhten die Nachfrage nach Zement, Sand und Beton, hofft Scheifele. Denn die Menschen brauchen ein besseres Dach über dem Kopf, die Infrastruktur werde ausgebaut. Die Heidelberger wollen deshalb ihre Zementkapazitäten in den Schwellenländern binnen zehn Jahren verdoppeln. Drei Viertel der Investitionsausgaben sollen in Wachstumsmärkte fließen.

FRANCE: Lafarge-Perte nette de E117 mlns au T1, objectifs confirmés



Lafarge a fait état mardi d'une perte nette, part du groupe, de 117 millions d'euros au premier trimestre, période traditionnellement faible pour le secteur du bâtiment mais pendant laquelle l'activité a souffert particulièrement cette année des fortes neiges.

Le numéro un mondial du ciment, numéro deux des granulats et numéro quatre du béton, avait accusé un an plus tôt une perte nette de 60 millions d'euros. Son chiffre d'affaires a baissé de 6% sur les trois premiers mois de 2013 à 3,14 milliards d'euros, soit un repli de 4% à taux de change et périmètre constant.

Le consensus Thomson Reuters donnait des ventes de 3,16 milliards d'euros, à partir des estimations de sept analystes, et une perte nette de 62,40 millions (cinq analystes).

Lafarge a confirmé ses objectifs pour 2013, à savoir une croissance de 1% à 4% de la demande de ciment sur les marchés où il est présent ainsi qu'une dette sous la barre des dix milliards d'euros le plus rapidement possible cette année.

L'endettement net a diminué de 0,6 milliard sur un an au premier trimestre à 11,8 milliards, mais augmenté de 0,5 milliard d'un trimestre à l'autre, ce que Lafarge explique par les variations saisonnières normales du besoin en fonds de roulement.

L'action Lafarge a clôturé lundi à 48,88 euros, donnant une capitalisation boursière de l'ordre de 14 milliards d'euros. Depuis le début de l'année, le titre gagne 1% environ, après un bond de plus de 77% en 2012.

AFRICA, Algerie: Gica lance une opération d’importation de 1,5 million de tonnes de ciment



Algerie: Gica lance une opération d’importation de 1,5 million de tonnes de ciment

Un appel d’offres international a été lancé, hier, par le Groupe public Gica pour l’importation de 1,5 million de tonnes de ciment, dont le premier quota de 950 000 tonnes devrait être réceptionné début juillet prochain. Cette énième opération d’importation de ce matériau devrait combler les besoins du pays, estimés actuellement à plus de 20 millions de tonnes, contre une production locale qui ne dépasserait pas 17 millions de tonnes réparties entre les cimenteries publiques et privées. En fait, pour les responsables du groupe Gica, rencontrés en marge du salon Batimatec, les pressions qui s’exercent régulièrement sur ce produit sont dues, en partie, aux deux arrêts techniques des cimenteries durant l’année. 
 
Il y a aussi l’arrêt des deux cimenteries de Lafarge ces dernières semaines, ce qui a causé une pénurie de ce matériau dans certaines régions, ajoute-t-on. Mais, d’autres raisons viennent accentuer cette crise, estime un professionnel du domaine. Il juge que «l’Algérie a lancé ces derniers temps des projets qui nécessitent des quantités de ciment énormes, tels qu’un programme de 650 000 logements ainsi que la mosquée d’Alger». Chose que confirme le groupe Gica, dont 55% de la production est réservée exclusivement aux projets prioritaires de l’Etat. Mais, semble-t-il, ce quota reste insuffisant aux yeux des entrepreneurs publics qui se plaignent de certaines contraintes dans l’approvisionnement. Un cadre dans une entreprise publique confie même que certains projets connaissent actuellement des difficultés en raison de ces pénuries, notamment lors de la dernière crise qui a provoqué une hausse vertigineuse des prix sur le marché informel. Ce responsable estime même que son entreprise se retrouve face à des situations inextricables. «Vous savez que le ciment est un produit essentiel dans notre activité, et il se trouve que certains projets ne reçoivent pas leurs quotas à temps. Que faire alors? Mettre les travailleurs au chômage technique? Ce n’est pas la solution puisque l’on crée déjà un autre problème social, mais c’est aussi des pertes pour l’entreprise.» Pour lui, même si l’entreprise est prioritaire dans l’approvisionnement, il admet que seuls quelques projets le sont, pour d’autres «on n’est pas différent du privé ou des particuliers», tonne-t-il. Du côté de Gica, on explique en fait que les entreprises publiques s’approvisionnent régulièrement, mais parfois il arrive, qu’en raison de la pression, on revoit à la baisse les quotas de certains clients. Selon le responsable marketing du groupe, cette crise n’est que passagère puisqu’un programme d’importation est prévu et trois filiales du groupe sont chargées de l’appliquer. Gica a importé en 2012 plus de 2,5 millions de tonnes de ciment et prévoit aussi des opérations d’importation durant l’année 2013, selon le même responsable. Ce dernier affirme aussi que le groupe entend multiplier les investissements, puisque la demande connaîtra une hausse sensible durant les dix prochaines années pour frôler 30 millions de tonnes, citant une étude réalisée par le groupe Gica. Des investissements d’un coût global de 350 milliards de dinars sont également en cours afin de doubler carrément la production, souligne la même source. Il cite notamment 4 cimenteries actuellement à l’étude, qui seront réalisées à Tamanrasset, Aïn Salah, Oum El Bouaghi, et Relizane. 

De nouvelles lignes de production seront également réalisées pour appuyer les cimenteries existantes, il s’agit de trois extensions d’une capacité de 2 millions de tonnes à Chlef et Beni Saf et Aïn El Kebira, une nouvelle ligne à la cimenterie de Zahana, qui produira 1,5 million de tonnes supplémentaires, et deux autres à Meftah et Tébessa pour une capacité totale de 2 millions. Un autre investissement qui permettrait aux yeux des responsables de Gica de maîtriser, voire freiner, l’activité des spéculateurs sur le marché est en cours. Il s’agit de la réalisation de 16 centrales à béton prêt à l’emploi à travers le territoire national ainsi que 9 carrières, dont 5 à l’Est 2 au centre du pays et 2 à l’Ouest.
S. B.
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Nigeria, Nigercem drags Ebonyi State Government to court



Nigeria, Nigercem drags Ebonyi State Government to court

The Nigerian Cement Company Plc, Nigercem, has dragged Ebonyi State government before a Federal High Court sitting in Abuja, asking the court to restrain it from stopping Ibeto Cement from taking over its company situated at Nkalagu in Ebonyi State.

The plaintiff is contending that the state government lacked the powers to revoke its mining lease, just as it sought a declaration “that the defendant or any of them cannot lawfully or validly interfere with the property right of the plaintiff over the mining lease duly granted to the plaintiff by virtue of Section 1(1) (2)(3) of the Minerals and Mining Act 2007.”

Those joined as defendants in the suit were the Attorney-General of the Federation, Inspector General of Police, and Ebonyi State government.

Besides, the plaintiff is seeking an order of perpetual injunction restraining the defendants, their servants, agents, privies or whosoever described from interfering in any way whatsoever with the right of the plaintiff to obtain access and enter the mining lease area.

The plaintiff also sought to exclusively use, occupy and carry out mineral exploration and exploitation within the mining lease areas without the plaintiff being found in breach of the terms and conditions of the mining leases or upon the expiration of the tenure of the mining lease.

Meanwhile, Justice Abdul Kafarati has fixed May 17 to hear the suit.

AFRICA, Nigeria. Lafarge Wapco: A Comeback Boosted by Investment



Nigeria. Lafarge Wapco: A Comeback Boosted by Investment



In 2011, Lafarge Cement Wapco Nigeria Plc rode on the back of significant increase in sales to improve its overall performance but the company’s profitability outlook was fragile at that time. Its audited report and accounts for the year ended December 31, 2011 showed appreciable improvements in profit and loss performance and balance sheet.
Sales growth of 43 per cent cushioned equally substantial increases in costs and formed the linchpin for the 21 per cent increase in profit before tax, completing a turnaround from the declines in sales and profit witnessed in 2010. That year, the net earnings position of the company was boosted by a 52 per cent reduction in tax provisions. With improved liquidity and less exigent financial structure, the balance sheet position was more amenable and consistent with the recovery outlook of the profit and loss accounts.
2012 Performance
Recently, Lafarge WAPCO Plc released its 2012 full year audited accounts with revenues increasing by 40 per cent to N87.9billion. Operating profit also doubled to N25.7 billion when compared with N13.35 billion recorded in 2011. Operating profits margin for the year went up by an impressive 29 per cent up from the 21 per cent posted a year earlier. Pretax profit also more than doubled to N21.2 billion whilst profit after tax stood at N14.7 billion resulting in a profit margin of 17 per cent. Return on average equity at the end of the period was a 23 per cent or 11 per cent when adjusted for inflation.
Investors Response
So far, traders and investors have responded positively to the result with the share price rising sharply by 6.1 per cent to N74.29 (from N70) when the results were released in March-that was after losing N3.99 a day before. The company’s share price has since moved to between N77.00 and N79.00 
Analysts believe the result is an indication to most investors noting that it is evidence that their expansion programs is now beginning to yield fruit as revenues have continued to increase despite total assets remaining unchanged and expenses also staying nearly flat. In fact the return on assets of 17 per cent was ably boosted by a higher asset turnover of about 58 per cent compared to operating profit margin of about 25.7 per cent. The company, analysts therefore stated, is presently enjoying a ride as its investments are now boosting profits.
Not-so-rosy Cash Flow
Meanwhile, things are not so rosy for Lafarge WAPCO in terms of cash flow. Analysis of the company’s results showed that it currently has a negative working capital of N8 billion and still end up spending almost all of the N22 billion generated in operating cash flows in paying down loans and dividends as well as another N5 billion on investment leaving them with a negative cash generated of N2.2 billion. ‘
Nevertheless cash carried forward from the prior year still provides enough buffers, helping the company end the year with about N8.8 billion in the bank.
Given this, a dividend payout ratio of just 25 per cent of profits is not bad. Last year dividend was 75 kobo or 27 per cent of profits and so achieving that same payout ratio would have cost the company an additional N300 million. On a flip side, this year’s dividend payment is N1.3billion higher than 2011 and their share price has seen a capital appreciation of almost 89 per cent as a result.
2012 Dividend
Lafarge Wapco Plc has proposed a dividend of N1.20 per share to its shareholders for the year ended December 31, 2012. This implies a dividend yield of 1.7 per cent and a payout ratio of 24.5 per cent. However, the dividend per share (DPS) and payout ratios were below analysts’ estimates of N2.1, 40 per cent, but broadly in line with consensus expectations. With earnings and DPS in line with market expectations, the market’s muted response to the results is not surprising.
According analysts at FBN Capital believe the company’s fourth quarter 2012 sales of N18.1 billion came in flattish year-on-year( y/y) and was below the average run rate of N23.3billion delivered by the company for the first three quarters of 2012.
According to FBN Capital, “Profit before tax (PBT) of N4.9 billion was up 177 per cent y/y, largely on the back of a gross margin expansion of 718 basis points and a 35 per cent y/y decline in operating expenses, (Opex). PAT increased 140 per cent y/y, while weaker comparables for Q4 2011 also helped the strong y/y growth in WAPCO’s earnings reflect strong operating leverage as the company ramped up 2.5 million metric tonnes of recently added capacity.
“On a sequential basis, although sales were down 23 per cent quarter-to-quarters, q/q, a gross margin expansion of 1,359bps q/q drove an 18 per cent q/q growth in PBT. WAPCO’s earnings were more or less in line with consensus expectations.”
Continuing, they said, “Our estimates were on the aggressive side. On a full year basis, WAPCO’s 2012 sales grew 40.7 per cent y/y to N88 billion, while PBT and PAT were up by 105 per cent and 70 per cent respectively.”
Governance and Structures
Lafarge Cement Wapco Nigeria Plc is a subsidiary of the Lafarge Group, which altogether holds 60 per cent equity stake through three of its subsidiaries. Lafarge Group is a global leader in building materials with operations in 78 countries. Besides, Lafarge Wapco, Lafarge’s operations in Nigeria also included majority shareholding Ashaka Cement and significant stakes in Atlas Cement, Port Harcourt and Unicem, Calabar. Lafarge’s operations in Africa run through 20 countries. This spread presents cross-selling and economy of scale advantages that provide Lafarge Wapco with access to competitive advantages in the market.
Erstwhile Managing Director of the company, Mr. Samy Abdelkader,  was assigned to new roles within the Lafarge Group and was replaced by Mr. Joe Hudson, who was formerly the regional vice president, human resources and organisation. Meanwhile, Chief Olusegun Osunkeye still chairs the board of directors.
Lafarge Wapco broadly complies with code of corporate governance with relevant board committees and structures to oversee the strategic direction of the company. Besides, Lafarge Group provides a global best practice guide that directs best practices in its operations.
Outlook
The performance of Lafarge Wapco is commendable. The rebound in key growth indices reassures on the positive impact of the recent investments and expansion. With the coming on stream of its 2.2 million metric tonnes new cement plant, which raised the company’s total capacity to 4.4 million metric tonnes per annum, Lafarge Wapco is expected to further consolidate its performance in the years ahead. Investments in power generation and utilisation- a major cost element in cement production, are also expected to provide stable platform for the realization of the growth potential.
But there is a snag in the company’s huge medium-term indebtedness. The company will require fast-paced growth in sales and tight control on costs to muffle the emerging obvious impact of interest expense. Financing structure has always been a major impediment in the growth cycle of Lafarge Wapco and it needs to break this chequered performance trend to truly deliver the benefits of several growth initiatives to shareholders.
The demand-supply outlook for the cement industry remains robust but there is always the lurking threat of the effect of unpredictable weather on building and construction activities. The future outlook of Lafarge Wapco depends on strong sales growth and efficient cost management.          

AFRICA, Ethiopia: South African Company Sues Habesha Cement for Commission



AFRICA, Ethiopia: South African Company Sues Habesha Cement for Commission


South African company, Arkadel PTY, has filed suit against Habesha Cement S.C., claiming they failed to pay 27 million Br in brokerage fees. The Eight Bench of the Federal High Court has ordered Habesha to respond to the pauper suit brought on April 5, 2013.

Arkader, which is represented locally by Brook Mamo and in South Africa by Tchanyalew Zewde, reached an agreement with Habesha on May 27, 2009 for the South African firm to receive two percent of the sales value for brokering the deal that sold 47pc of Habesha shares. The shares were sold to South Africa’s Pretoria Portland Cement Company Limited (PPC) and Industrial Development Corporation (IDC). PPC and IDC bought 21 million dollars and 27 million dollars in shares, respectively.

Habesha was pleased with the services that Arkader provided so they revised the fist contract and increased the commission that Arkader received from two percent to seven, according to the statement of claim. However when Arkader asked to be paid Habesha refused saying they had terminated the contract, according to the court documents.

Arkader argued that it was the first contract that was terminated rather than the second; as the latter was an amendment. The statement of claim argues that if the contract were terminated, the terms would have been clearly stipulated in the second agreement that the two companies signed on January 27, 2010.

Arkader claims that the second agreement simply added a five percent increase to their fees, raising their payment amount to 27 millionBr.

Habesha was established in September 2008 with 30 founding shareholders. The company floated 600,000 shares to the public on September 18, 2008 with a value of 1,000 Br each. The sale was closed on August 9, 2009. When the initial public offering was closed Habesha had amassed over 16,000 shareholders, the largest base in a private company in the country.

Pretoria Portland Cement Company (PPC) was established in 1892 as South Africa’s first cement plant on the outskirts of Pretoria. PPC is the leading supplier of cement in southern Africa through eight cement manufacturing facilities and three milling depots in South Africa, Botswana and Zimbabwe which have the capacity of producing around eight million tonnes of cement products each year. PPC also produces aggregates, metallurgical-grade lime, burnt dolomite and limestone.

ESPAÑA: Portland se aprieta cinturón ante el desplome del cemento en España



Ante la persistente debilidad del sector de la construcción en España que está provocando fuertes desplomes en el consumo de cemento, la filial cementera de FCC anunció el miércoles un redimensionamiento de su estructura productiva que pasará por la venta de activos no estratégicos y cierres temporales de las fábricas con menor actividad. 

En comunicados al supervisor bursátil, Cementos Portland dijo que sólo mantendrá las instalaciones rentables de los negocios de hormigón, mortero y áridos, y que reducirá su estructura corporativa mediante ajustes de personal y oficinas. 

"En el área Laboral se actuará a través de tres palancas, la reducción salarial, la reestructuración corporativa y la aplicación de ERTEs (expedientes de regulación de empleo temporales) en el negocio de cemento, mediante cierres temporales de fábricas por baja utilización", dijo. 

El grupo también comunicó sus cuentas del primer trimestre, que arrojaron un beneficio neto de 62 millones de euros, frente a pérdidas de 31 millones un año antes, gracias a las plusvalías de 89 millones de euros conseguidas con las ventas de activos a la irlandesa CRH. 

"El resultado sin atípicos sería negativo, con unas pérdidas de 27,7 millones de euros", matizó Portland, que añadió que las ventas hasta marzo cayeron un 22 por ciento a 122 millones de euros y el resultado bruto de explotación (ebitda) se desplomó un 57 por ciento a 5,6 millones de euros.

ALGERIA: Les professionnels du secteur se plaignent de la pénurie de ciment

L’Algérie accumule un déficit en matière d’offre de ciment de l’ordre de presque de 3 millions de tonnes par an. 

Ce déficit en ciment retarde les projets des secteurs du bâtiment et des travaux publics (BTPH), obligeant les entrepreneurs à s’approvisionner au marché noir à des prix souvent exorbitants. La production nationale des cimenteries publiques GICA est de l’ordre de 11,5 millions de tonnes par an et celle des deux cimenteries de Lafarge est 7,5 millions de tonnes. L’offre est donc de 18 millions de tonnes, tandis que la demande dépasse les 21 millions de tonnes. Lors de l’inauguration de la 16e édition du Batimatec samedi dernier, le ministère de l’Habitat et de l’Urbanisme, Abdelmadjid Tebboune, s’est montré rassurant quant à la résorption à terme de ce déficit. Selon lui, le marché algérien devrait parvenir à l’autosuffisance à l’horizon 2015 dans la mesure où un vaste programme de modernisation et de développement des cimenteries publiques mais aussi privées a été déjà impulsé et marqué par le lancement de plusieurs partenariats public-privé. Mais entre-temps, le ministre plaide pour une importation ultra-rapide, seul moyen pour juguler la crise du ciment. “Il faut casser la spéculation par la quantité”, insiste-t-il. Il convient de rappeler que la facture des importations algériennes de ciment a presque doublé durant le 1er trimestre 2013 par rapport à la même période en 2012, passant de 36,13 millions de dollars à 68,05 millions de dollars, en hausse de 88,3%, selon le Centre national de l’informatique et des statistiques (Cnis) des Douanes. En plaidant pour une importation ultra-rapide, le ministre espère se donner à la fois l’opportunité de mener à bien son programme sans accros et le temps de mettre en branle l’ambitieux programme de production de 20 millions de tonnes à l’horizon 2016 et 29 millions de tonnes d’ici à 2018. Ce programme consiste notamment à la réalisation de six nouvelles cimenteries dont cinq publiques et l’extension des capacités de production d’autres cimenteries dont celles publiques, dans le but de limiter justement la hausse constante des importations de ciment. Cette option ne semble pas satisfaire Abdelmadjid Dennouni, président de la Confédération nationale du patronat (CNPA) secteur du BTPH. M. Dennouni qui intervenait, dimanche, lors d’une conférence au Salon Batimatec, estime que ces projets de création de nouvelles cimenteries seront livrés à l’horizon 2015 ou 2016 pour une production de 23 millions de tonnes par an ce qui crée un surplus dans la production. Il appelle à “revoir la stratégie adoptée” consistant à lancer de nouvelles unités de production par les deux producteurs, en ce sens qu’ils peuvent créer un excédent difficile à absorber, y compris par l’exportation. De l’avis de Dennouni, “il serait plus judicieux de réhabiliter les cimenteries qui doivent augmenter sa capacité de production au lieu de dépenser des sommes faramineuses. Trois cimenteries sont en cours de réhabilitation qui vont coûter à l’Etat quelque 700 millions de dollars. L’augmentation portera l’offre totale à 21 700 millions de tonnes ce qui est égale à la demande. Pourquoi donc créer de nouvelles cimenteries ? Le président du CNPA met en garde contre “le syndrome des minoteries” qui a connu une saturation, il y a quelques années, se demandant si on aura encore “des plans de charges et de nouveaux projets une fois achevée la réalisation du programme présidentiel”. Pour remédier à la rareté du ciment sur le marché algérien, ce qui pénalise en premier lieu les particuliers et les PME, M. Dennouni suggère d’obliger les entreprises de grande taille, en charge des projets structurants, à s’approvisionner sur le marché international pour leur consommation en ciment. Leurs besoins sont évalués par M. Dennouni à deux millions de tonnes annuellement. “Nous aurons ainsi une marge de près de deux millions de tonnes, qui permettra aux PME algériennes de s’approvisionner correctement”, afin de mener à bon port les projets de bâtiment.

Monday, May 6, 2013

PERU: Consumo interno de cemento se desaceleró en marzo



El consumo interno de cemento, el principal indicador del sector Construcción, registró una fuerte desaceleración en marzo de este año y creció solo 2.98%, informó el Instituto Nacional de Estadística e Informática (INEI).

Esta cifra es sustancialmente menor a la registrada en febrero pasado (14.14%) y en enero (18.64%), según el Informe Técnico de Avance Coyuntural de la entidad.

Asimismo, explicó que esta caída se debe “a la paralización de algunas obras por factores coyunturales de la gestión municipal; así como la prolongación de lluvias”.

PARAGUAY: Cementera Tasser paró su fábrica por tiempo indefinido

La cementera privada Tasser que opera en la ciudad de Villa Hayes y produce en promedio unas 10.000 bolsas de cemento por día, se encuentra actualmente totalmente parada y de forma indefinida, según informó el actual presidente firma, Ricardo Sánchez, quien evitó dar más detalles al respecto.

Sin embargo, comentó que la empresa se verá afectada por un cambio del directorio central administrativo, luego de una asamblea entre empresarios encargados de la planta.

“La fábrica ya está sin funcionamiento actualmente, aún desconocemos el plazo en que se mantendrá así, no puedo brindar más detalles al respecto debido a que ya dejaré de formar parte del directorio, ampliaremos esta situación la semana que viene”, manifestó el actual titular de la compañía.

Al ser consultado sobre el tema, el director del área de operaciones de Tasser, Walter Capdevila, argumentó que no puede dar detalles al respecto, porque la información es competencia directa del directorio, cuyo único encargado es Ricardo Sánchez.

La empresa nacional productora de cemento, Tasser SA, tenía previsto realizar para el 2013 una inversión de cerca de US$ 10.000.000, con el fin de ampliar su planta fabril actual, y llegar a duplicar su capacidad de producción. Este proyecto fue anunciado antes de este problema, por Sánchez.

Este había indicado además que al completarse la primera etapa, manteniéndose la tendencia y el mercado, pasarían a la segunda etapa, que es ampliar la fábrica para llegar a producir unas 20.000 bolsas por día, que serían 300.000 bolsas al mes. La planta cuenta con cerca de 100 trabajadores.

SIN PROVISIÓN

Sobre el tema, el representante de la distribuidora de materiales de construcción e importadora de cemento, Chacoré SA, y actual miembro directivo de Aceros del Paraguay (Acepar), Sergio Ferreira, confirmó el paro total de la planta fabril de cemento de Tasser en Villa Hayes. Manifestó que a su empresa, la cementera proveía de producto a Chacoré hasta hace unos días, cuando se produjo la pausa productiva.


La distribución de cemento en el país se encuentra encabezada por la Industria Nacional de Cemento, con el 55,5% del mercado total, produciendo unas 50.000 bolsas diarias de cemento; Tasser por su parte acaparaba el 11,1%, con una producción de diaria de unas 10.000 bolsas; y la importación del producto representa el 33% de todo lo consumido en el país.

VENEZUELA: Gobierno prevé que aumente consumo de cemento per cápita en 2013



Caracas, 04 May. AVN.- El vicepresidente para el Área Económico-Productiva y ministro para Industrias, Ricardo Menéndez, informó que se estima incrementar el consumo per cápita de cemento por habitantes a 300 kilos en 2013, siguiendo los lineamientos de inversión del Plan de la Patria 2013-2019.

"Antes de la Revolución Bolivariana, el consumo per cápita era de 130 kilos por habitante al año, solamente con las medidas del Comandate Chávez en el sector subimos a 280 kilos" en 2012, indicó en una de las plantas de la Corporación Socialista de Cemento en los Valles del Tuy, estado Miranda.

En ese sentido, para 2018 se tiene proyectado en aumentar ese consumo a 500 kilos por persona.

Recordó que, en 2012, Venezuela alcanzó un nuevo récord nacional de producción de cemento con 8.440.000 de toneladas, debido a una serie de medidas que han fortalecido estás fábricas en el país.

En referencia al Gobierno de Calle en los Valles del Tuy, Menéndez apuntó que han revisado la situación del parque industrial y de las zonas especiales de desarrollo, para fortalecer este sector y "cambiar un paradigma de que Los Valles del Tuy es un depósito de damnificados, como fue concebido en la Cuarta República".

El vicepresidente de la República, Jorge Arreaza, ratificó que la decisión del comandante Hugo Chávez para nacionalizar la industria cementera tenía el objetivo de garantizar este material para la construcción de viviendas y las grandes obras de infraestructura.

"En este Gobierno de Calle, las ministras y los ministros, con el Presidente al frente, están desplegados por todo el estado Miranda para la construcción del socialismo con los trabajadores", enfatizó.